L’Interview IMPACT de Carl MANLAN, Vice-président de l’Inclusive impact & Sustainability chez VISA CEMEA

L’Interview IMPACT de Carl MANLAN, Vice-président de l’Inclusive impact & Sustainability chez VISA CEMEA

En amont du sommet de l’engagement sociétal des entreprises, Africa Mutandi réalise une série d’entretiens autour de l’objectif d’impact des différents acteurs.

Aujourd’hui nous recevons Carl Manlan, Vice-président de l’Inclusive impact & Sustainability chez VISA Europe Centrale, Moyen-Orient et Afrique (CEMEA)Découvrez sa stratégie d’impacts !!!

Visa en Afrique

Pour Visa, l’Afrique est au cœur de notre stratégie de croissance à long terme. Au fil des ans, nous avons concentré nos efforts sur l’accès des acheteurs et des vendeurs du continent au commerce numérique. Visa dessert chacun des 54 pays africains à partir de 11 bureaux, dont un nouveau bureau en République démocratique du Congo qui a officiellement ouvert ses portes au mois d’août 2022. Nous avons des équipes locales à travers le continent, soutenant les partenariats avec le secteur public et privé. Aujourd’hui, il existe plus de 128 millions de cartes Visa en Afrique et près de deux millions de points de vente acceptant les paiements Visa.

L’Afrique abrite à la fois la population la plus jeune du monde et six des dix économies à la croissance la plus rapide au monde, deux facteurs qui auront un effet de plus en plus transformateur sur la trajectoire économique et sociale du monde. Alors que de plus en plus de personnes se connectent à Internet et obtiennent une connectivité mobile – deux changements accélérés par la pandémie de COVID-19 – l’Afrique continuera de connaître une transformation économique et numérique importante. Tout cela souligne le rôle croissant de l’Afrique dans l’économie mondiale et notre engagement à être un acteur important dans cette croissance.

1/ Quels sont pour vous la définition de l’impact et les axes principaux de votre stratégie d’impacts ? 

L’impact doit être durable. Sans cet élément capital, il est impossible de le définir. Ainsi, chez Visa, l’exécution de notre stratégie s’articule autour du partenariat (ODD 17). En collaborant avec nos clients pour définir ensemble l’opportunité que représente l’éducation financière pour un individu ou un foyer, nous combinons nos efforts pour donner à la communauté des compétences qui peuvent transformer leurs vies. Ainsi, nous sommes en train de collaborer avec Paradise Game en Afrique de l’Ouest pour rendre accessible aux jeunes les outils nécessaires pour prendre en main leur future et leur argent. Aux Emirats Arabes Unis, nous collaborons avec des Fintech – Cashee et Edfundo – pour combiner accès aux plateformes digitales avec formation. En République Démocratique du Congo, notre collaboration avec Vodacom vise à autonomiser des femmes vivant avec un handicap.

2/ Quelles articulations partenariales privilégiez-vous dans le cadre de cette approche ? 

Chez Visa, nous croyons fermement que les économies qui incluent tout le monde permettent de transformer les communautés – en améliorant leur éducation financière et leurs compétences numériques par exemple. Nous reconnaissons, avec nos clients, que la capacité à rendre accessible pour une femme qui gère une micro-entreprise de payer et de recevoir de l’argent de manière digitale est un important catalyseur. Ainsi nous privilégions des partenariats qui vont être à l’intersection de la technologie, de l’éducation et de l’empathie pour faire bouger les lignes du développement vers le progrès humain.

3/ Quels sont les principaux indicateurs que vous trouvez utiles et pertinents dans la mise en œuvre ?

Le progrès peut se définir sous différentes formes. Cependant l’un des indicateurs clés est la capacite à soutenir localement les micros, petites et moyennes entreprises afin qu’elles puissent créer de la valeur et s’insérer progressivement dans les chaines de valeurs régionales, continentales et globales.

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